Il y a deux ans, je faisais le pont qui cache le tunnel (Merci Jérôme Plasseraud)
« Une vie sans examen ne vaut pas la peine d’être vécue ». (Merci Socrate.)
Et écrire, outre les nombreux bienfaits que cela apporte, nous permet de nous examiner, de savoir où on en est, d’ou on vient, et s’il y a lieu d’opérer des mises à jour.
Je le fais tous les matins à l’aube depuis des mois (Merci Julia Cameron et ses pages du matin)
Et parfois, ça nous permet aussi de constater qu’on a avancé sur le bon chemin, même en boitant parfois. (Merci Saint Augustin)
Je suis fière, et tellement heureuse, de me rendre compte de tout ce chemin parcouru, et pas des moindres.
Ma vie ressemble enfin à ce que je suis. À ce que je crois. Et non à ce que je crois que je suis.
Et c’est le ciel finalement que je remercie, et tout ce que j’inclue dedans (et vous en faites partie) d’avancer chaque jour vers plus de liberté. Celle d’être moi-même.
Pages extraites de mon livre « Les montagnes roses », disponible aux Editions Eyrolles