Sous le règne de Covid 1er, ère maudite pour nous, frères humains, Romain Berrodier nous offre un peu de douceur dans un monde sans but.
Il se serait bien écouté dans l’avion, cet album. Aux Bahamas, au coin du feu en haut des pistes, à l’apéro avec des amis… Mais il s’écoute aussi très bien chez soi.
Et je l’affirme en connaissance de cause puisque je l’ai entendu pendant des mois, en live, avant que Romain ne décide qu’il était prêt.
Et je vous assure que je ne m’en suis jamais lassée.
Vous me répondrez que l’amour rend aveugle ? Peut-être, mais il ne rend pas sourd.
Pour nous livrer Up there, son premier album, l’homme qui partage mes mélodies depuis plus de 4 ans, a travaillé dur pour que ça ne se voit pas, parce que « Tout vient d’en haut, mais rien ne tombe du ciel ». (Vous avez fait le rapprochement avec Up there, hein?). Je considère cette phrase comme ma meilleure punchline des 10 dernières années. D’ailleurs, Romain l’a reprise dans sa Bio ! Et j’en suis très fière, même si je l’y ai totalement forcé.

Prenez le temps d’écouter ce disque, vous n’aurez pas l’impression de le perdre.
Il est mélodieux, tendre, inspirant, et plein d’espoir. Il est accessible, et sincère.
Exactement comme son auteur.

Écouter l’album

La somptueuse cover est signée Noellie Renucci.
La meilleure d’entre nous. (❤️x10000000000)

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